The Girl Next Door
Culture et autres futilités...

Versailles pour les nuls

Dans la famille pour les nuls je voudrais : Versailles !


Parce qu'on ne connaîtra jamais vraiment l'histoire de Versailles et qu'il y a tant d'anecdotes à découvrir, pourquoi ne pas se faire aider par cet ouvrage. Écrit par Mathieu da Vinha, directeur scientifique du Centre de recherche du château de Versailles, et Raphaël Masson, conservateur au château, nul doute que ce guide pourra relever le défi.


Des couloirs du célèbre château, depuis la galerie des glaces jusqu'aux passages les plus secrets, en s'attardant quelques temps sur ses somptueux jardins, rien ne semble oublié.

Y sont notamment abordés :
L'histoire et l'architecture du château
Le domaine et les jardins
La vie quotidienne à la cour du Roi
Le musée et le palais nationale
Versailles aujourd'hui

Vous commencez à le savoir, j'adore Versailles, il y a donc de fortes chances que je craque !


Rendez-vous sur Hellocoton !
Rendez-vous sur Hellocoton !

Berlin Next ! à la Gaîté lyrique

Hier s’est ouvert à la Gaîté lyrique le festival Berlin Next !


Berlin Next! par Flag

Tout est parti d’une simple question : Pourquoi Berlin occupe-t-elle une place si singulière parmi les métropoles internationales de création ?


Si Londres est trendy et Paris plutôt chic, Berlin s’affirme de par son originalité. En effet, Berlin est différente, fière de sa modestie, riche de ses espaces vides, de ses fragilités et d’une densité de population six fois inférieure à celle de Paris.


Berlin est connue et reconnue pour être la ville phare de l’underground international, point de ralliement des esprits libres et des alternatifs du monde entier, carrefour des avant-gardes et des contre-cultures : du post-punk à la techno, en passant par le cinéma expérimental et les cultures numériques, tout y est.

C’est cette capitale européenne des années 2010 que veut raconter Berlin Next !, très loin du clubbing low-cost et des clichés, en invitant les artistes émergents ou déjà confirmés de la scène berlinoise actuelle, mais également des artistes visuels, plasticiens, journalistes et écrivains.

Au programme, des concerts, du clubbing, des ateliers de hackers, des projections et des installations.


A noter, la soirée de samedi qui donnera carte blanche aux artistes du label Ostgut Ton. J’en serai !





Rendez-vous sur Hellocoton !
Rendez-vous sur Hellocoton !

Les expos du printemps

Dans le domaine culturel comme ailleurs, chaque nouvelle saison apporte avec elle son lot de nouveautés. Et côté expos, le printemps nous gâte ! 

Petit tour d'horizon non exhaustif des expos à ne pas rater cette saison.

Stanley Kubrick, l’exposition à la Cinémathèque
Du 23 mars au 31 juillet


Commençons par la plus attendus et la plus médiatisée.  Une fois n'est pas coutume, cette exposition n'est pas une création des équipes de la Cinémathèque mais une exposition itinérante que l'on doit au Deutsches Filmmuseum de Francfort qui l’a conçue en 2004 en collaboration étroite avec Christiane Kubrick, Jan Harlan et The Stanley Kubrick Archive à Londres.

Le fonds d’archives de Stanley Kubrick renferme de nombreux et précieux documents de travail : scénarios, correspondances, documents de recherches, photos de tournages, costumes et accessoires. L’exposition, film après film, inclue les projets non aboutis : le Napoléon, que Kubrick envisageait de réaliser, ou encore son projet de film sur les camps, Aryan Papers. Ainsi elle permet d’entrer dans l’envers du décor et de mieux comprendre les intentions narratives et techniques de celui qui fut un véritable démiurge du cinéma mondial, à la fois secret et fascinant.

L’exposition sera accompagnée d’une rétrospective des films de Kubrick, de publications diverses, livres, numéros spéciaux de magazines consacrés à l’auteur de Docteur Folamour, Lolita et Full Metal Jacket, de nombreuses conférences et tables rondes.


Madame Grès, la couture à l'œuvre au Musée Bourdelle
Du 25 mars au 24 juillet


Il s'agit de la première rétrospective consacrée à ce génie de la haute couture française, Alix Grès plus connue sous le nom de sa griffe Madame Grès. 

Robes asymétriques, drapées à l’antique comme moulées sur le corps, robes en volume lorsqu’elle travaille la faille ou le taffetas : l'exposition réunit quelque quatre-vingts pièces provenant du musée Galliera et de collections privées, ainsi qu’une cinquantaine de photographies originales.


Brassens ou la liberté à la Cité de la musique
Du 15 mars au 21 août

Brassens est installé dans la mémoire collective avec l’image parfois consensuelle du père tranquille que l’on chante en famille au coin du feu, celle de l’ami qui nous rassure parce qu’il nous parle d’un monde où les amoureux se bécotent sur les bancs publics, où les croquants vont en ville à cheval, où Margot dégrafe son corsage pour donner la gougoutte à son chat.


La Cité de la musique a voulu, au-delà des images stéréotypées, le faire découvrir sous un angle inédit et parfois surprenant. Elle a demandé au dessinateur et auteur Joann Sfar, (le chat du rabin) ainsi qu’à la journaliste Clémentine Deroudille, de transmettre leur passion pour Brassens. 

Le parcours est à la fois ludique et didactique, incitant à la déambulation au milieu d’une forêt d’arbres, où le public découvrira des documents inédits, manuscrits et carnets exceptionnellement confiés par la famille et les proches du chanteur, et également des archives audiovisuelles et radiophoniques, des photographies, des guitares.

A noter aussi, l'organisation d'un concours d'imitation sur dailymotion : le championnat du monde des Brassens, avec moustache obligatoire of course ! Chaque mois, les 10 videos les plus plébiscitées seront diffusées dans le cadre de l'exposition.


Manet, inventeur du Moderne au Musée d'Orsay
Du 5 avril au 3 juillet


Plus qu’une rétrospective monographique, l'exposition entend explorer et éclairer la situation historique d’Edouard Manet, entre l’héritage réaffirmé du romantisme, l’impact de ses contemporains et le flux médiatique de son époque.

Cette exposition repense également les multiples liens que le peintre a résolument noués ou dénoués avec la sphère publique et politique. Car la modernité est aussi affaire d’inscription, voire d’opposition. Le parcours s’attarde donc sur l’enseignement de Thomas Couture, l’impulsion de Baudelaire, la réforme de l’art religieux, l’imaginaire érotique, l’art du fragment(é), le rapport à la peinture féminine (Berthe Morisot, Eva Gonzalès), la tentation mondaine, son impressionnisme décalé comme sa complicité avec le Mallarmé le plus noir.

Il s’agit de la première manifestation d’ensemble consacrée à Manet en France depuis la mémorable exposition de 1983 aux Galeries nationales du Grand Palais, organisée notamment par Françoise Cachin, ancien directeur du musée d’Orsay.


Je vous avais dis qu'on était gâtés ! 

Rendez-vous sur Hellocoton !
Rendez-vous sur Hellocoton !

Et que le vaste monde poursuive sa course folle ~ Colum McCann

Tout part d'un fait divers qui n'a rien d'anodin : le 7 août 1974 à New York, Philippe Petit, funambule, décide de marcher sur un fil tendu entre les tours jumelles du World Trade Center.

A partir de cet évènement, c'est dans les vies d'une dizaine de personnages que Colum McCann va nous faire pénétrer. 

Du moine irlandais installé dans le Bronx qui tente de venir en aide à des prostituées, à une femme des beaux quartiers qui a perdu son fils lors de la guerre du Vietnam, en passant par des artistes junkies du Village en pleine repentance, toutes ces tranches de vies vont s'entre-mêler et se télescoper.

Ces différents personnages, que tout oppose à première vue, partage pourtant une chose : cette violence inhérente à leur quotidien.

New York est un personnage à part entière de ce récit. Toujours présente, on ressent tout de la ville jusqu'à la moiteur de l'atmosphère et le bitume sous nos pieds...

Plus que son sujet, c'est surtout l'écriture de Colum McCann qui apporte beaucoup à ce livre. J'ai d'ailleurs été surprise par sa capacité à changer son style à chaque chapitre, sa faculté à adapter sa plume à chacun de ses protagonistes. Tantôt élégante à Park Avenue, elle devient violente sous les ponts du Bronx... Et nous, on se laisse volontier emporter par une certaine poésie.

Vous l'aurez compris, j'ai été subjuguée par ce livre qui m'a laissée comme assommée par tant de vécu, tant de violence mais tant d'amour... A lire absolument !


Photo prise le 7 août 1974 par Vic De Luca

Et que le vaste monde poursuive sa course folle
Colum McCann
Aux éditions Belfond / 1018 (poche)
435 / 475 pages


Lecture en cours :


Rendez-vous sur Hellocoton !

Je ne vous parlerai pas du salon du livre...

Enfin presque pas...




Première fois pour moi au salon du livre lors de la nocturne de vendredi. Que dire sinon : quelle déception... 

J'étais déjà plutôt réfractaire avant même d'y aller mais cette visite figurait en bonne place dans mes bonnes résolutions littéraires de cette année, je me devais donc de m'y rendre.

J'en avais l'image d'une grande salle dénuée de tout charme, de toute convivialité, à l'ambiance parisiano-parisienne (je me regarde, je te regarde), d'auteurs inconnus, esseulés qui attendent un lecteur qui sans doute ne viendra pas... et c'est exactement ce que j'ai trouvé vendredi dernier.


Trop de choix, trop d'espace, trop de gens même pas, il n'y avait pas foule, trop d'ennui en tout cas. Comme s'il n'était pas possible de parler de livres et de la lecture autrement que par des conférences soporifiques avec des auteurs qui ont l'air de s'ennuyer eux-mêmes (Sofi Oksanen, dont j'ai adoré le livre en première ligne). Merci quand même à Abd al Malik qui, grâce à son apparente passion des mots et de la lecture, a remonté le niveau général.


Une chose est sûre, rien ne vaut l'atmosphère d'une petite librairie avec un sofa où l'on se sent presque chez soit.

Librairie L'Eternel Retour 77 Rue Lamarck 75018 PARIS

Rendez-vous sur Hellocoton !

Extension du domaine de la lutte ~ Michel Houellebecq

Non vous ne rêvez pas, c'est bien moi qui vous parle  encore d'un livre de Houellebecq. Si mon avis sur les particules élémentaires était plutôt tranché,  j'avoue que je n'ai pas résisté quand je suis tombée un peu par hasard sur Extension du domaine de la lutte qui, m'a-t-on dit, est son meilleur livre.

Ici, encore, nous voici en présence d'un looser, trentenaire, célibataire et informaticien de son état, ni moche ni beau, dénué de charme en tout cas, désenchanté sur le monde et la société contemporaine. Depuis la machine à café jusqu'en Province, ce type au cynisme hallucinant se plaît à observer ses congénères et leur lutte désespérée  pour l'amour, l'argent et le plaisir.


Et bien figurez-vous que je me suis laissée surprendre à aimer ce livre. J'y ai en fait trouvé tout ce que j'attendais des Particules élémentaires mais qui pourtant lui faisait cruellement défaut. 

Extension du domaine de la lutte c'est une critique acerbe de notre société à travers la personne du français moyen et vue sous l'angle du libéralisme. Libéralisme non pas économique mais plutôt sentimental, voire sexuel, qui serait donc une extension du domaine de la lutte qui caractérise l'économie actuelle. 

A côté de cette lutte des classes, il y aurait donc une lutte amoureuse, où tout le monde se battrait pour un peu d'amour et de plaisirs. A l'instar des personnages du roman, qui d'ailleurs valent le détour, qui se perdent dans leur solitude et leur désespoir...

J'ai aussi découvert dans ce livre un Houellebecq au potentiel comique certain et qui n'a pas son pareil pour décrire la laideur et la bêtise, à l'image de cette homonyme de Brigitte Bardot qui de Bardot n'a que le nom...

Certes on n'échappe pas aux séances de plaisirs solitaires, d'ailleurs comment faire dans un livre où tout n'est que solitude, mais cette fois-ci en plus petite dose. Le livre est d'ailleurs beaucoup plus court que Les particules élémentaires, ce qui le rend forcément plus digeste.

En bref, j'ai passé à ma grande surprise, un très bon moment de lecture et regrette vivement que notre choix se soit porté sur Les particules élémentaires lors du club de lecture...


Morceau choisi :

« Dans un système économique où le licenciement est prohibé, chacun réussit plus ou moins à trouver sa place. Dans un système sexuel où l’adultère est prohibé, chacun réussit plus ou moins à trouver son compagnon de lit. En système économique parfaitement libéral, certains accumulent des fortunes considérables ; d'autres croupissent dans le chômage et la misère. En système sexuel parfaitement libéral, certains ont une vie érotique variée et excitante ; d'autres sont réduits à la masturbation et la solitude. Le libéralisme économique, c'est l'extension du domaine de la lutte, son extension à tous les âges de la vie et à toutes les classes de la société. De même, le libéralisme sexuel, c'est l'extension du domaine de la lutte, son extension à tous les âges de la vie et à toutes les classes de la société. Sur le plan économique, Raphaël Tisserand appartient au camp des vainqueurs ; sur le plan sexuel, à celui des vaincus. Certains gagnent sur les deux tableaux ; d'autres perdent sur les deux. »



A bientôt pour mon avis sur La carte et le territoire 
(non je ne m'arrête plus).


Rendez-vous sur Hellocoton !
Rendez-vous sur Hellocoton !

Club de lecture, quatrième acte : le menu

Après un club de lecture de février consacré aux Particules élémentaires de Michel Houellebecq (le compte rendu est ici), nous nous retrouverons le 17 mars prochain, toujours à partir de 18h30 et toujours au café livres.

Cette fois-ci, nous prendrons un petit peu de hauteur et converserons autour du Voyage d'une parisienne à Lhassa, d'Alexandra David-Néel.



1924. Pour la première fois, une femme étrangère réussit à entrer dans Lhassa, capitale interdite du Tibet !

Huit mois auront été nécessaires à Alexandra David-Néel pour relever ce défi extraordinaire ! Huit mois d'un long périple à travers les immenses solitudes du "pays des Neiges". Huit mois d'une vie rude et dangereuse sous l'apparence d'une mendiante tibétaine! A une époque où personne ne parle de "raid", et encore moins quand il s'agit d'une femme, c'est un magnifique exploit et une aventure exceptionnelle que nous décrit ici l'auteur ! Elle y ajoute sa propre quête spirituelle, et ce regard fasciné qu'elle porte sur la civilisation tibétaine. 


Si vous souhaitez vous joindre à nous, n'hésitez pas à me le faire savoir, tout le monde est bienvenu. 
Rendez-vous sur Hellocoton !

Dans l’atelier des menus plaisirs du Roi aux Archives nationales

C’est une exposition au thème original et méconnu que nous proposent les archives nationales.


Le service des Menus Plaisirs était chargé d’organiser et de financer les spectacles et les fêtes de la Cour aux XVII et XVIIIème sièble. Pour ce faire, il employait les meilleurs artistes et techniciens de son temps, pour imaginer et réaliser les décors, costumes, machines et accessoires susceptibles de provoquer l’émerveillement des spectateurs. Les Menus Plaisirs étaient également sollicités pour la mise en scène des grandes cérémonies de pompes funèbres.


Des œuvres inédites et d’une qualité exceptionnelle sont présentées autour de six thèmes :

Les créateurs des Menus Plaisirs qui présente, à travers plusieurs personnalités (notamment Carlo Vigarani et Jean Berain), les différentes facettes des talents qui furent au service du Roi.

L’héritage de l’Italie dans les théâtres et les spectacles qui témoigne bien de l’influence des artistes italiens sur l’aménagement des salles de spectacles parisiennes et sur l’espace réservé au public.

Les scénographies de l’Opéra à travers des maquettes de décors de l’Académie royale de musique (l’Opéra de Paris).


Les Machines d’opéra qui rendent hommage à l’ingéniosité des artistes qui a permis la variété des effets procurés par d’astucieux mécanismes mais aussi à leur créativité puisque l’on plonge dans un univers onirique, peuplé de figures mythologiques ou légendaires se déplaçant dans des chars terrestres, marins et célestes.


Les fêtes que les Menus Plaisirs étaient chargés d'organiser à la Cour. Les documents présentés évoquent à la fois les manifestations parisiennes, remontant au début du XVIIe siècle et les grandes réjouissances versaillaises.


Les pompes funèbres, aux décors fastueux, célébrées dans les grands sanctuaires de la monarchie (la basilique de Saint-Denis, Notre-Dame de Paris) et dont l’exubérance même invitait à la méditation sur la vanité des gloires humaines.

 
Outre la fait de nous faire découvrir les coulisses des fêtes de la Cour, cette exposition a le mérite de rendre compte du merveilleux de l’opéra français, de nous faire admirer la variété, la qualité graphique des dessins et estampes présentés et apprécier l’ingéniosité de ces artistes pour créer l’illusion et susciter le rêve avec les moyens techniques de l’époque.


Toutefois, j’ai trouvé l’exposition trop pauvre en explications et anecdotes et peut être trop austère par rapport aux fastes du sujet abordé… J’ai néanmoins passé un excellent moment dans le magnifique hôtel de Soubise que je ne connaissais pas.


Dans l’atelier des menus plaisirs du roi
Du 19 janvier au 24 avril 2011
du lundi au vendredi de 10 h à 12 h 30 et de
14 h à 17 h 30
samedi et dimanche de 14 h à 17 h 30
fermée le mardi et les jours fériés

Plein tarif | 6 €
Tarif réduit | 4 €


Rendez-vous sur Hellocoton !
Rendez-vous sur Hellocoton !

Alibi : enfin un magazine littéraire dédié aux polars !

Si j’aime lire, je dois avouer que les magazines littéraires, bien trop généraux voire carrément trop ennuyant classiques, n’ont jamais conquis une fan de roman noirs telle que moi. C’est donc avec grand plaisir que j’ai appris la parution d’Alibi, un nouveau magazine, dédié au monde du "noir".


Les trois créateurs : Paolo Bevilacqua, Marc Fernandez et Jean-Christophe Rampal sont tous trois journalistes,  fans de polars mais aussi grands consommateurs de séries télé et amateurs de faits divers. Leur idée ? Proposer un magazine au contenu de qualité, des articles longs, des reportages, des interviews, de belles photos. Bref, un objet différent, un magazine-livre original…

Original tout d'abord de part ses prétentions, le magazine se décrivant lui même comme haut de gamme avec son papier de bonne qualité et l'attention tout particulière portée sur les photos. Mais aussi de part son format, plus proche du livre que du magazine, les créateurs préférant d'ailleurs le terme de « mag book ». Et surtout par cette volonté de raconter le monde à travers le prisme du polar.

Au sommaire du numéro 1 : 

Flics et voyous, la plume dans la plaie : un grand dossier sur les flics et voyous qui passent à l’écriture, avec Anne Perry et Hafed Benotman. 

Un entretien avec Massimo Calandri du quotidien La Reppublica, le journaliste qui a découvert le « Monstre de Gênes », un tueur en série italien aujourd'hui derrière les barreaux.

Mais aussi un grand entretien exclusif avec R.J Ellory (dont je suis actuellement en train de lire le dernier livre) au cours duquel il révèle ses secrets d'écriture ; la découverte d’Edimburg avec le personnage de Ian Rankin, une rencontre avec Marcus Malte et bien sûr des chroniques de polars !


Alibi sortira donc tous les trois mois. Vous pourrez vous le procurer chez certains libraires mais aussi dans toutes les FNAC et Virgin, les Relay gares et aéroports ainsi que certaines Maisons de la Presse au prix de 15 euros.

Je vous recommande aussi de faire un tour sur le site internet du magazine qui regorge de bonnes idées de lecture.


Rendez-vous sur Hellocoton !
Rendez-vous sur Hellocoton !